Zoom : la traduction automatique prendra en charge 12 langues

Microsoft annonce du nouveau pour son application Zoom

Au premier semestre 2020, lorsque le service de visioconférence a observé une hausse soudaine du nombre d’utilisateurs, celui-ci a dû gérer de nombreux problèmes liés à la sécurité et la confidentialité.

Aussi, dans un premier temps, Zoom s’est d’abord focalisé sur cet aspect, au lieu de développer de nouvelles fonctionnalités. Mais maintenant que ces problèmes sont résolus, l’entreprise américaine ne cesse d’annoncer des nouveautés pour ses utilisateurs.

Et parmi les nouveautés en cours de développement, il y a la traduction automatique, qui devrait permettre aux utilisateurs de faire des visioconférences même s’ils ne parlent pas la même langue. Fin juin, Zoom a racheté la startup allemande Karlsruhe Information Technology Solutions ou Kites, spécialisés dans la traduction en temps réel.

L’objectif de l’entreprise, avec cette acquisition, est de briser la barrière de la langue. « Avec nos missions alignées pour rendre la collaboration sans friction – indépendamment de la langue, de l’emplacement géographique ou d’autres obstacles – nous sommes convaincus que l’impressionnante équipe de Kites s’intégrera parfaitement à Zoom », avait déclaré Velchamy Sankarlingam, président des produits et de l’ingénierie chez Zoom.

Cette semaine, à l’occasion de l’événement Zoomtopia, l’entreprise annonce que l’année prochaine, sa traduction instantanée prendra en charge 12 langues. D’autre part, les sous-titres automatiques de Zoom prendront en charge 30 langues. Pour rappel, en début d’année, Zoom avait déjà évoqué son intention de rendre ces sous-titres automatiques (une fonctionnalité d’accessibilité) disponibles pour tous ceux qui en ont besoin.

« Zoom connecte les utilisateurs du monde entier, et cette extension de nos fonctionnalités de transcription et de traduction aidera à surmonter la barrière de la langue qui peut empêcher la communication et la collaboration dynamiques », peut-on lire dans l’annonce faite cette semaine.

Zoom ne cesse de s’améliorer.

Au premier semestre 2020, lorsque le service de visioconférence a observé une hausse soudaine du nombre d’utilisateurs, celui-ci a dû gérer de nombreux problèmes liés à la sécurité et la confidentialité.

Aussi, dans un premier temps, Zoom s’est d’abord focalisé sur cet aspect, au lieu de développer de nouvelles fonctionnalités. Mais maintenant que ces problèmes sont résolus, l’entreprise américaine ne cesse d’annoncer des nouveautés pour ses utilisateurs.

Et parmi les nouveautés en cours de développement, il y a la traduction automatique, qui devrait permettre aux utilisateurs de faire des visioconférences même s’ils ne parlent pas la même langue. Fin juin, Zoom a racheté la startup allemande Karlsruhe Information Technology Solutions ou Kites, spécialisés dans la traduction en temps réel.

L’objectif de l’entreprise, avec cette acquisition, est de briser la barrière de la langue. « Avec nos missions alignées pour rendre la collaboration sans friction – indépendamment de la langue, de l’emplacement géographique ou d’autres obstacles – nous sommes convaincus que l’impressionnante équipe de Kites s’intégrera parfaitement à Zoom », avait déclaré Velchamy Sankarlingam, président des produits et de l’ingénierie chez Zoom.

Cette semaine, à l’occasion de l’événement Zoomtopia, l’entreprise annonce que l’année prochaine, sa traduction instantanée prendra en charge 12 langues. D’autre part, les sous-titres automatiques de Zoom prendront en charge 30 langues. Pour rappel, en début d’année, Zoom avait déjà évoqué son intention de rendre ces sous-titres automatiques (une fonctionnalité d’accessibilité) disponibles pour tous ceux qui en ont besoin.

« Zoom connecte les utilisateurs du monde entier, et cette extension de nos fonctionnalités de transcription et de traduction aidera à surmonter la barrière de la langue qui peut empêcher la communication et la collaboration dynamiques », peut-on lire dans l’annonce faite cette semaine.

Zoom s’adapte aux modèles hybrides

Bien entendu, il ne s’agit pas de la seule nouveauté annoncée par Zoom. Par exemple, l’entreprise prévoit aussi de créer un widget Zoom qui permettra un accès rapide aux fonctionnalités de l’app de visioconférence. Plus tard cette année, Zoom lancera également une nouvelle version de son tableau blanc virtuel.

« Vous pourrez interagir avec un tableau blanc virtuel comme vous le feriez en personne », explique l’entreprise. D’autre part, ce tableau blanc sera bientôt disponible sur les casques de réalité virtuelle Oculus, grâce à une collaboration entre Zoom et Facebook.

Les améliorations sur Zoom sont annoncées à un moment où, grâce à la vaccination, de nombreux pays retrouvent un semblant de normalité. Néanmoins, bien que le travail en présentiel soit désormais possible, des entreprises envisagent d’adopter de manière permanente un modèle hybride qui combine le télétravail avec des jours en présentiel. Et dans cet environnement de travail hybride, Zoom continuera d’être un outil essentiel.

Article : Zoom, la traduction automatique prendra en charge 12 langues
Publié sur Presse Citron le 14 septembre 2021 par Setra

Microsoft facilite l’accès à GPT-3 sur Azure via l’API OpenAI

À l’occasion de la conférence Ignite, Microsoft a annoncé que l’accès à GPT (le puissant modèle de langage naturel développé par OpenAI) sera facilité sur Azure grâce à l’API OpenAI. L’objectif : simplifier la création d’applications faisant appel à l’intelligence artificielle en passant par la solution Azure OpenAI.

« Nous n’en sommes qu’au début de la découverte de la puissance et du potentiel de GPT, et c’est ce qui le rend si intéressant. Maintenant, nous prenons ce qu’OpenAI a publié et le rendons disponible avec toutes les promesses dont les entreprises ont besoin pour passer à la production. »

Eric Boyd, vice-président de Microsoft pour Azure AI

Accélérer le processus d’écriture créative ou d’extraction d’informations

« GPT permet d’accélérer le processus d’écriture créative, mais également d’extraire des informations à partir d’une grande quantité de texte. Ses capacités de génération de code sont un excellent exemple des nouveaux types de valeur commerciale que ces modèles apportent »,  analyse Dominic Divakaruni, directeur de produit Microsoft responsable d’Azure OpenAI. « Les clients apprennent chaque jour de nouvelles choses sur ce que ces modèles peuvent leur apporter. »

Microsoft prend l’exemple d’une franchise sportive qui voudrait développer une application dédiée pour retranscrire des commentaires télévisés, et/ou les transformer en temps forts et analyses des matchs. Elle pourrait ainsi utiliser GPT pour rendre cette retranscription facile et rapide, et ainsi créer de l’engagement plus rapidement auprès de la communauté.

Ces nouvelles fonctionnalités mettent en avant la volonté de Microsoft de développer l’IA pour la rendre accessible au plus grand nombre. Pour rappel, en début d’année la firme a commencé à utiliser GPT dans Microsoft Power Apps pour faciliter le développement d’applications low-code.

Des dispositifs de sécurité pour éviter les abus

Sarah Bird, responsable de l’IA de Microsoft pour Azure AI, explique que le dispositif a été pensé pour éviter les abus : « Ces grands modèles linguistiques sont entraînés sur de grandes quantités de données Internet, qui peuvent aller du langage vulgaire aux stéréotypes raciaux en passant par des informations d’identification personnelle. Il est important de donner aux entreprises clientes des garanties pour éviter que la technologie ne soit utilisée à des fins nuisibles ou de générer des résultats indésirables ».

Microsoft assurera également un suivi et une analyse de la sécurité afin d’identifier les éventuels cas d’abus ou de mauvaise utilisation. La firme déclare également qu’elle aidera les clients à s’assurer que leurs propres utilisateurs déploient la technologie aux fins prévues.

Microsoft dévoile des informations sur son service d’infrastructure d’IA « Singularity »

Je vous propose deux articles sur le sujet :

En cette année 2022, Microsoft fête ses 47 ans : retour sur 15 anecdotes méconnues

En 2022, à l’occasion des 47 ans de la société Microsoft, retour sur des anecdotes méconnues sur la création et les produits de la firme de William Henry Gates III, dit Bill Gates.

  1. L’origine du nom Microsoft

    Fondée en 1975, par Bill Gates et Paul Allen, la firme s’est d’abord appelée Micro-Soft, selon une idée du second co-fondateur. Ce nom représente la combinaison abrégée de micro-ordinateur et logiciel (software, en anglais). En 1981, le trait d’union a finalement été abandonné, le société devenant Microsoft.

  2. La société a été fondée au Nouveau-Mexique

    Contrairement à ce que l’on peut penser, la société n’a pas été fondée à Washington, mais à Albuquerque, au Nouveau-Mexique. Ce n’est qu’en 1979 que la société Microsoft s’est implantée à Bellevue, dans l’État de Washington. En 1986, la firme s’installe finalement à Redmond, dans l’État de Washington, soit son siège social actuel.

  3. Le premier équipement lancé par Microsoft était une souris d’ordinateur

    En 1983, Microsoft lance sa souris, la « Microsoft Mouse ». C’est le premier matériel produit par la firme. Celle-ci était alors fournie avec les premières versions de Microsoft Word et du Bloc-notes.

  4. La première version de Windows date de 1985

    En novembre 1985, Microsoft lance la toute première version de Windows. Sous le nom de Windows 1.0, un système d’exploitation 16 bits. Avant lui, la société a développé un premier système d’exploitation du nom de XENIX, version modifiée du système d’exploitation UNIX, puis a lancé en 1981 son système d’exploitation MS-DOS. La fortune arriva quand IBM sélectionna ce système pur son premier PC.

  5. Microsoft n’est pas la première entreprise co-fondée par Bill Gates et Paul Allen

    Avant de créer Microsoft, Bill Gates et Paul Allen avaient déjà montré leurs compétences entrepreneuriales. Alors étudiants dans un lycée de Seattle, ils avaient conçu un système informatique qui traite automatiquement les données de comptage du trafic. L’objectif : lire les données brutes produites par les compteurs de trafic routier et les transformer en rapports pour les ingénieurs de la circulation. La société s’appelait Traf-O-Data.

  6. Bill Gates est devenu le plus jeune milliardaire en 1987

    Cotée très tôt sur le NASDAQ, l’entreprise Microsoft s’est avérée être très lucrative pour ses fondateurs. En 1987, Bill Gates avait gagné son premier milliard, il avait alors 31 ans. Ce qui a fait de lui le plus jeune milliardaire de l’époque.

  7. Microsoft a sauvé Apple de la faillite en 1997

    Si aujourd’hui, la société Apple, concurrente directe de Microsoft, fait partie des marques les plus puissantes, il n’en a pas toujours été ainsi. En 1997, la société de Steve Jobs rencontrait des problèmes financiers et avait besoin d’un investissement important pour poursuivre son activité. Microsoft est ainsi venu en aide à Apple en investissant 150 millions de dollars. Ce n’était pas une action de bon samaritain, Microsoft était sous enquête pour abus de position dominante ; le sauvetage d’Apple lui permettait de montrer qu’il y avait encore un concurrent de taille !

  8. Vous souvenez-vous de Solitaire, un petit jeu d’initiation

    Qui n’a jamais joué au Solitaire sur son PC ?
    Ce jeu de cartes proposé sur tous les PC Windows, n’a pas été placé là par hasard. En effet, en plus d’être un jeu de réflexion qui permet de passer le temps, il a été mis en place comme une sorte d’initiation, pour apprendre aux utilisateurs le très pratique « glisser-déposer » sur ordinateur. Geste qui n’a pas toujours été intuitif.

  9. Microsoft a proposé une tablette avant Apple

    Si l’iPad signé Apple, sorti en 2010, a rendu les tablettes populaires auprès des utilisateurs, ce n’est pas à la société de Steve Jobs que l’on doit les premières tablettes. En effet, c’est Microsoft qui, en 2001, avait présenté un prototype de tablette PC sous Windows XP. Mais le marché n’était pas encore prêt, et l’appareil trop volumineux, lourd et épais pour être considéré comme pratique.

  10. La signification du nom Xbox

    La célèbre console de Microsoft porte le nom de Xbox qui est l’abréviation de « DirectX Box ». DirectX est un ensemble d’API créées par Microsoft permettant de gérer les tâches liées au multimédia et en particulier la programmation de jeux vidéo.

  11. Microsoft a également fabriqué la première smartwatc

    De la même manière, c’est à Microsoft que l’on doit la première smartwatch. Ainsi, en 1994, la firme lançait avec la marque de montre Timex, la Timex DataLink 150. Elle présentait un petit écran LCD, et pouvait se connecter à un PC Windows pour télécharger des informations telles que des rendez-vous. Une preuve que Microsoft est une société qui a été pionnière dans de nombreux domaines, proposant des produits révolutionnaires, mais souvent lancés trop tôt.

  12. L’arrière-plan de Windows XP est probablement la photo la plus vue de l’histoire

    La colline verdoyante utilisée en arrière-plan par défaut sous Windows XP est considérée comme l’image la plus connue du monde informatique. La photographie originale a été prise par Charles O’Rear, en 1996, dans le comté de Sonoma en Californie et a reçu le titre « Bliss ». On estime qu’elle a été vue au minimum 1 milliard de fois. Si Windows XP n’est plus supporté depuis 2014, cette image lui survit ayant été maintes fois détournée, à travers des memes, ou simplement réutilisée.

  13. En 2014, le moteur de recherche de Microsoft a prédit la finale de la Coupe du monde

    En 2014 en pleine Coupe du monde, les pronostics sont nombreux. Parmi lesquels ceux du moteur de recherche Bing et de l’assistant virtuel Cortana, tous deux développés par Microsoft. Ces derniers prédisaient ainsi que l’Argentine et l’Allemagne s’affronteraient et avaient vu juste.

  14. D’où vient la mélodie de démarrage de Windows

    Tout comme l’arrière-plan par défaut sur Windows XP est devenu iconique, le son de démarrage de Windows 95 est devenu tout aussi culte. Ce thème, appelé « The Microsoft Sound », a été composé par Brian Eno, un musicien et compositeur qui a notamment travaillé avec U2 ou encore David Bowie

  15. Microsoft a acquis plus de 200 entreprises dans le monde

    Depuis son lancement, Microsoft a acquis plus de 200 entreprises à travers le monde. Parmi lesquelles Nokia, LinkedIn, Yammer ou encore GitHub. En 2021, la firme a fait beaucoup parler avec l’acquisition des studios Activision Blizzard, éditeur des jeux Call of Duty, Candy Crush ou encore World of Warcraft.

Pas mal non ?

Microsoft corrige désormais ses bugs logiciels uniquement grâce à l’IA

Microsoft’s new tool fixes the bugs in software code written by AI

Microsoft’s new tool fixes the bugs in software code written by AI

Microsoft reckons machine-generated code should be treated with a « mixture of optimism and caution » because programming can be automated with large language models, but the code also can’t always be trusted.

These large pre-trained language models include OpenAI’s Codex, Google’s BERT natural language program and DeepMind’s work on code generation. OpenAI’s Codex, unveiled in August, is available through Microsoft-owned GitHub’s Copilot tool.

To address the question of code quality from these language models, Microsoft researchers have created Jigsaw, a tool that can improve the performance of these models using « post-processing techniques that understand the programs’ syntax and semantics and then leverages user feedback to improve future performance. »

It’s currently designed to synthesize code for Python Pandas API using multi-modal inputs, says Microsoft. Pandas is a popular data manipulation and analysis library for data scientists who use the Python programming language.

The language models like Codex can allow a developer to use an English description for a snippet of code and the model can synthesize the intended code in say Python or JavaScript. But, as Microsoft notes, that code might be incorrect or fail to compile or run, so the developer needs to check the code before using it.

Microsoft corrige désormais ses bugs logiciels grâce à l’IA

Jigsaw, le nouvel outil d’IA de Microsoft, permet au géant américain d’automatiser le processus de vérification et d’édition du code produit par une machine. Une nouvelle menace à craindre pour les développeurs ?

Pour Microsoft, tout code généré par une machine doit être traité avec un « mélange d’optimisme et de prudence », car la programmation a beau pouvoir être automatisée à l’aide de grands modèles de langage, on ne peut pas toujours faire confiance au code. Parmi ces grands modèles de langage pré-entraînés, citons le Codex d’OpenAI, le programme de langage naturel BERT de Google et les travaux de DeepMind sur la génération de code. Le Codex d’OpenAI, dévoilé en août, est disponible via l’outil Copilot de GitHub, propriété de Microsoft.

Pour répondre au défi de la qualité du code issu de ces modèles de langage dopés à l’intelligence artificielle (IA), les chercheurs de Microsoft viennent de présenter Jigsaw, un nouvel outil capable d’améliorer les performances de ces modèles à l’aide de « techniques de post-traitement qui comprennent la syntaxe et la sémantique des programmes, puis exploitent les commentaires des utilisateurs pour améliorer les performances futures ».

L’outil est actuellement conçu pour synthétiser le code de l’API Pandas de Python en utilisant des entrées multimodales, indique Microsoft. Rappelons que Pandas est une bibliothèque populaire de manipulation et d’analyse de données pour les scientifiques des données qui utilisent le langage de programmation Python.

« With Project Jigsaw, we aim to automate some of this vetting to boost the productivity of developers who are using large language models like Codex for code synthesis, » explains the Jigsaw team at Microsoft Research.

Microsoft reckons Jigsaw can « completely automate » the entire process of checking whether code compiles, addressing error messages, and testing whether the code produces what the developer wanted it to output.

« Jigsaw takes as input an English description of the intended code, as well as an I/O example. In this way, it pairs an input with the associated output, and provides the quality assurance that the output Python code will compile and generate the intended output on the provided input, » they note.

The paper, Jigsaw: Large Language Models meet Program Synthesis, looks at the approach in Python Pandas.

Using Jigsaw, a data scientist or developer provides a description of the intended transformation in English, an input dataframe, and the corresponding output dataframe. Jigsaw then synthesizes the intended code.

Source : Microsoft’s new tool fixes the bugs in software code written by AI

Les modèles de langage comme Codex permettent à un développeur d’utiliser une description en anglais pour un bout de code et le modèle peut synthétiser le code prévu en Python ou en JavaScript. Pour autant, ce code peut être incorrect ou ne pas réussir à compiler ou à s’exécuter, de sorte que le développeur doit vérifier le code avant de l’utiliser, comme la fait remarquer Microsoft.

« Le projet Jigsaw vise à automatiser une partie de cette vérification afin d’améliorer la productivité des développeurs qui utilisent de grands modèles de langage comme Codex pour la synthèse de code », explique ainsi l’équipe Jigsaw, de Microsoft Research.

Microsoft estime que Jigsaw peut « automatiser complètement » l’ensemble du processus consistant à vérifier la compilation du code, à traiter les messages d’erreur et à tester si le code produit ce que le développeur voulait qu’il produise. « Jigsaw prend en entrée une description en anglais du code prévu, ainsi qu’un exemple d’entrée/sortie. De cette façon, il associe une entrée à la sortie associée et fournit l’assurance qualité que le code Python en sortie sera compilé et générera la sortie prévue sur l’entrée fournie », notent-ils.

Source : Microsoft corrige désormais ses bugs logiciels grâce à l’IA

L’IA de Microsoft qui devint nazie…

Rions un peu …

Allez visionner la vidéo suivante : Tayminator

Diffusée sur ARTE

 

La morale :

Les biais se cachent partout…

Pour que demain se code dès aujourd’hui, Microsoft met l’IA et le métavers au service des développeurs

A l’occasion de Microsoft Build 2022, notre conférence annuelle rassemblant chaque année plusieurs milliers de développeurs, Microsoft présente plus de 50 nouveaux services et fonctionnalités qui leur sont dédiés, axés sur l’usage de l’intelligence artificielle et l’automatisation. Microsoft précise également sa vision du métavers.

Dans le cadre de sa keynote d’ouverture, Satya Nadella a révélé plusieurs nouvelles solutions et fonctionnalités au service des développeurs, qu’ils soient experts ou low-code. Alors que dici 2024, 65% des applications créées le seront en no code ou en low-code, d’après le cabinet Gartner, les annonces d’aujourd’hui permettront aux développeurs de concevoir des modèles d’applications hybrides, en tirant parti de l’intelligence artificielle et de l’automatisation au service de la performance.

Satya Nadella a également rappelé comment Microsoft Mesh se positionne comme la plateforme de référence au sein d’Azure permettant aux développeurs de créer leurs propres mondes immersifs, en toute flexibilité, quel que soit l’appareil utilisé – HoloLens, casques de réalité virtuelle, téléphones, tablettes et PC. Aujourd’hui, nombreux sont nos clients qui développent ce que Satya Nadella appelle des solutions de métavers industriels, qu’il s’agisse de jumeaux numériques, d’automatisation et contrôle de processus, d’intégration d’IA et de visualisation immersive.

Parmi les annonces à retenir :

Proposer davantage de fluidité et d’agilité aux développeurs

Pour faciliter l’usage de l’intelligence artificielle dans la programmation et fluidifier le travail des développeurs, Microsoft annonce :

  • La disponibilité générale de GitHub Copilot à partir de cet été. Copilot fournit des suggestions de code aux développeurs à partir de code et de commentaires existants. Lors de la preview de Copilot, plus d’un tiers de ceux qui se sont inscrits pour utiliser le programme sont devenus utilisateurs au quotidien.
  • Project Volterra, un nouvel appareil doté d’un NPU (Neural Process Unit), propulsé par Snapdragon, associé à un SDK qui permettront aux développeurs Windows de coder, tester et débuger, avec leurs outils de développement favoris (notamment Visual Studio, Windows Terminal, WSL, VSCode, Microsoft Office et Teams), des applications natives ARM, intégrant des processus d’IA exécutés localement.

Rendre le développement accessible à tous avec l’IA et l’automatisation

Microsoft présente également de nouvelles solutions low-code qui s’appuient sur de l’IA et de l’automatisation, adressées à tous types de profils, pour répondre aux défis des équipes opérationnelles :

  • Microsoft Power Pages, une plateforme de développement et d’hébergement low-code ergonomique qui permet à chacun, du créateur low-code au développeur professionnel, de concevoir, configurer et publier des sites Web pour PC et mobile en quelques clics.
  • Express Design dans Power Apps, qui permet de charger un PDF, un PowerPoint ou même un croquis dessiné à la main et le convertir en une application fonctionnelle en quelques secondes.
  • Synthèse de texte dans Dynamics 365 pour le support client. Les utilisateurs peuvent récapituler des conversations complexes afin de réduire le temps de traitement des demandes et améliorer la satisfaction client.

L’événement est également l’occasion d’annoncer plusieurs autres nouveautés dans Azure, Windows, Power Platform et Microsoft 365 dont l’arrivée de Live Share dans Microsoft Teams. Cette nouvelle fonctionnalité permet d’interagir à plusieurs et en même temps – co-visionnage, co-édition et co-création – avec du contenu partagé dans une réunion Teams.

Découvrez le détail de ces annonces dans ce blogpost et dans le Book of News.

 

Quelques articles divers

Articles de sources diverses en lien avec Microsft :

  • Des faux profils générés par l’intelligence artificielle identifiés et supprimés du réseau LinkedIn Publié sur ActuIA le 13 avril 2022
    Deux chercheurs de l’Observatoire de l’Internet de Stanford, Renée DiResta et Josh Goldstein, ont trouvé plus de 1 000 faux profils sur LinkedIn créés avec des photos générées par l’IA, plus précisément avec les GAN (Generative Adversial Networks). Ces faux profils pourraient permettre aux entreprises de toucher plus de clients sans pour autant embaucher plus de personnel ni dépasser le nombre limite de messages imposé par LinkedIn.
  • Des physiciens travaillant avec Microsoft comparent l’univers à une IA Publié sur PhonAndroïd le 29 décembre 2021 par Simon Aunai
    Les lois de la physique sont le résultat d’un long processus d’apprentissage de la part de l’univers. Voici la théorie présentée par plusieurs scientifiques, qui compare ainsi notre monde à un ordinateur doué de machine learning. Une étude qui bouleverse le milieu puisqu’elle revient à dire que nous ne percerons jamais tous les secrets de notre environnement.
  • Mastercard déploie l’IA de Microsoft pour améliorer la protection contre la fraude sur ZDNet le 26 avril 2022
    Les deux entreprises associent leurs technologies innovantes pour mieux protéger les consommateurs contre une forme de fraude numérique de plus en plus répandue. (traduction d’un article de ZDNet US)
  • Microsoft lance le Biotech Scaler Program Publié sur le blog News.Microsoft le 15 juin 2022
    Microsoft France annonce aujourd’hui le lancement de Biotech Scaler Program aux côtés de ses partenaires :  l’Institut Curie, et Cellenza. L’initiative, destinée aux biotech et medtech, vise à accélérer leur développement en leur apportant des outils technologiques et d’analyse, et à les accompagner dans leurs recherches d’investissement. 4 startups font d’ores et déjà partie du programme : MabSilico, WhiteLab Genomics, Ose Immunotherapeutics et Caranx.
  • How Microsoft’s AI spots ransomware attacks before they even get started Publié sur ZDNet.com le 22 juin 2022
    Ransomware is one of today’s most prolific and vicious digital threats. Ransomware families including Locky, WannaCry, NotPetya, and Cerber plague consumers and businesses alike, locking up infected systems and demanding payment in return for decryption keys, which may or may not return access to encrypted files.
  • Etc …

Microsoft’s still-unannounced ‘Designer’ tool

« Designer » de Microsoft, toujours pas officiel mais voici des détails fuites…

Microsoft is seemingly readying a new Designer tool that looks like a Canva competitor, as well as a Create app/site for templates.

Microsoft prépare apparemment un nouvel outil de design qui ressemble à s’y méprendre à Canva, ainsi qu’une application ou un site de création de modèles, entre autres.

L’article complet : Microsoft’s still-unannounced ‘Designer’ tool: New details emerge
Publié sur ZDNet.com le 4 août 2022 par Mary Jo Foley

Un bot travaille sur Excel à votre place

Un nouvel outil bien pratique pour les utilisateurs de Microsoft Excel.

Le tableur Excel permet la création de tableaux, de calculs automatisés, de plannings, de graphiques ou encore de bases de données. Le logiciel possède des fonctions de calcul numérique, réalisées à l’aide de formules de calcul. Les valeurs du tableau se mettent donc à jour automatiquement en fonction des saisies de l’utilisateur et des calculs. Ce logiciel n’est plus à présenter et truste son domaine.

Excel s’avère donc très pratique, mais pour en profiter, il reste encore à savoir créer et utiliser ces formules. C’est ainsi qu’un bot gratuit a vu le jour.

Sa mission ?

Guider et aider les utilisateurs dans l’élaboration de leurs calculs. À savoir qu’un “bot” est une sorte de petit robot, qui, via une interface, facilite le dialogue entre un service et un consommateur. Ils sont programmés pour réaliser des tâches répétitives spécifiques et exécutent des commandes définies avec précision. Ces commandes prennent la forme d’algorithmes et de scripts, que le bot est capable d’exécuter de façon ultra rapide.

Ici, le bot dédié à Microsoft Excel est capable de créer facilement n’importe quelle formule et fonctionne grâce à l’intelligence artificielle. Pour en profiter, il suffit de se rendre sur le site excelformulabot. Ensuite, l’utilisateur n’a plus qu’à expliquer le problème qu’il essaie de résoudre dans la zone de saisie. “Les résultats du modèle sont meilleurs lorsque la demande est aussi précise que possible (c’est-à-dire qu’elle fait référence à des cellules, des lignes ou des colonnes exactes)”, explique le site. “Si vous n’obtenez pas les résultats souhaités, essayez de reformuler votre phrase. Si vous utilisez des guillemets, utilisez uniquement des guillemets simples. Les guillemets doubles provoquent une erreur”. À noter que, pour le moment, le site ne prend en compte que les explications écrites en anglais ou en espagnol.

Article source : Un bot travaille sur Excel à votre place Publié sur Geeko le 2 août 2022 par Anaëlle Lucina

Passer à la troisième partie concernant Microsoft…